Impôt dividendes : comment ne pas payer d’impôt sur les dividendes ?

La façon la plus évidente d’éviter l’impôt sur les dividendes est de ne pas recevoir de dividendes. Toutefois, si vous êtes actionnaire d’une société qui verse des dividendes, il existe quelques moyens de réduire le montant de l’impôt sur les dividendes que vous devez payer. L’une d’elles consiste à investir dans des actions qui offrent aux actionnaires un crédit d’impôt. Cela signifie que la société paie un certain montant d’impôt au nom de l’actionnaire, ce qui réduit le montant de l’impôt que ce dernier doit payer. Une autre façon de réduire l’impôt sur les dividendes est d’investir dans des actions qui sont détenues dans un régime enregistré d’épargne-retraite (REER). Cela signifie que les dividendes ne sont pas imposés tant qu’ils ne sont pas retirés du REER. Enfin, si vous êtes un résident canadien, vous pouvez demander un crédit pour impôt étranger pour les impôts payés sur les dividendes de sociétés étrangères. Ce crédit peut être utilisé pour compenser tout impôt canadien dû sur ces dividendes.

Si vous êtes actionnaire d’une société qui verse des dividendes, il existe quelques moyens de réduire le montant de l’impôt sur les dividendes que vous payez. L’une d’elles consiste à investir dans des actions qui offrent aux actionnaires un crédit d’impôt. Cela signifie que la société paie un certain montant d’impôt au nom de l’actionnaire, ce qui réduit le montant de l’impôt que ce dernier doit payer. Une autre façon de réduire l’impôt sur les dividendes est d’investir dans des actions qui sont détenues dans un régime enregistré d’épargne-retraite (REER). Cela signifie que les dividendes ne sont pas imposés tant qu’ils ne sont pas retirés du REER. Enfin, si vous êtes un résident canadien, vous pouvez demander un crédit pour impôt étranger pour les impôts payés sur les dividendes de sociétés étrangères. Ce crédit peut être utilisé pour compenser tout impôt canadien

Les dividendes qui sont obtenus par les associés sont imposables lors du prélèvement forfaitaire de 30 %, à condition que l’associé soit une personne physique.

Par contre, il est possible de choisir une imposition au barème progressif sur les impôts.

Dans quelques cas, surtout pour les associés qui sont affiliés à la réglementation des travailleurs indépendants, les dividendes sont aussi intégrés dans le calcul des cotisations sociales. Dans cet article, nous allons tout vous expliquer sur les dividendes et leur imposition pour les associés physiques.

Les impôts sur les dividendes des associées « personne physique »

Pour les revenus qui sont perçus après le 1er janvier 2018, les impôts sur les dividendes perçus répondent aux prélèvements forfaitaires de 30 %.

Par contre, le contribuable, lui, peut choisir une imposition au barème dit : progressif des impôts sur les revenus des capitaux mobiliers, ainsi que les plus values mobilières qui entrent dans les champs de l’application du prélèvement forfaitaire unique au cours de l’année de son imposition.

Les prélèvements forfaitaires uniques de 30 %

Comme on l’a dit plus haut, les dividendes qui sont perçus par l’associé physique, sont imposés de plein droit, à un prélèvement, dit forfaitaire unique de 30 %. Ces dernières sont composées de :

  • Un taux de prélèvements sociaux de 17%;
  • un taux d’impôts sur les revenus de 12%.

Ce sont des prélèvements qui sont réalisées par un établissement payeur. Ce dernier va le verser directement à l’État.

Donc, on comprend que le prélèvement forfaitaire n’est pas libératoire, lorsqu’il s’agit d’impôt sur les revenus. Le montant est plutôt imputé sur une imposition forfaitaire de 12 % qui s’applique sur les revenus capitaux.

Si les taux sont équivalents, il n’y aura aucune régularisation sur les impôts. En pratique, ceci peut être considéré comme un prélèvement libératoire, car aucun impôt supplémentaire n’est appliqué sur les revenus.

Le montant du dividende net est perçu donc comme un revenu d’impôt net !

Pour ce qui est des gérants d’entreprises : SARL, EURL, IS, EIRL… ces derniers sont concernés par la cotisation sociale, selon leur dividende. Dans ce cas là, le prélèvement forfaitaire s’applique de la manière suivante :

  • Sur la quotepart non concernées par les cotisations sociales : on applique dans ce cas, des prélèvements normaux de 30 %
  • sur la quotepart cernées par les cotisations sociales, on applique des prélèvements de 12 %

Impôts sur les dividendes via les barèmes progressifs IR

Sur une option irrévocable et expresse, l’associé physique peut choisir l’imposition des dividendes via le barème progressif de l’IR (Impôt sur les revenus). C’est une alternative irrévocable qui va être exercée sur la déclaration des revenus souscris par l’associée durant toute l’année précédente. Un prélèvement de 30 % sera opéré par l’organisme payeur (17 % sur les titres de prélèvement et 12 % sur le compte d’impôts).

Les personnes qui ont un revenu fiscal, de l’année précédente, inférieur à 50 000 euros (bien entendu pour une seule personne), ou alors, 75 000 €; pour deux personnes (couple) qui sont soumis à une imposition en commun, peuvent choisir de disperser les versements. Il suffit dans ce cas, de faire une attestation sur l’honneur à votre organisme payeur que vous allez payer vos dividendes avant le 30 novembre de l’année en cours.

En choisissant l’imposition sur les dividendes, selon l’IR, l’associé va bénéficier d’un abattement qui peut atteindre les 40 % et pourra donc, éliminer une partie de son CSG.

L’acompte de ces impôts se fait sur les dividendes du montant global.

Conseils et conclusion

Pour conclure, on peut dire que les dividendes qui sont perçus par les différents associés physiques, acceptent les prélèvements sociaux ensuite, les impôts sur les revenus. De même, pour les associés qui sont affiliés à l’impôt sur les revenus, une partie de leurs dividendes est sujette automatiquement aux cotisations sociales.

De manière générale, les prélèvements sur les dividendes, sont très importants. Il est donc indispensable de bien les étudier et les analyser avec un expert comptable, avant même de procéder à la distribution de dividendes.

Dans le cas où vous êtes un associé avec le statut de travailleur non salarié, vous avez le choix entre deux options intéressantes : soit vous procédez directement à une augmentation du capital, soit vous bénéficiez d’une rémunération supplémentaire.

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